Le blog de Au grenier de la lune

A l'ombre du vent...

Publié le 25 Février 2011 par Au grenier de la lune

Catégories : #Un peu de noir

---- Dans ce silence Dense, Ils dansent ... .. Que font-ils ces amants qui se croisent au matin Qui s’en vont et s’en viennent semblant flotter debout, Il s’approche et la frôle mais jamais ne l’atteint Dans leur balancement il semblerait qu’ils jouent......

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rouge et noir

Publié le 23 Février 2011 par Au grenier de la lune

Catégories : #Un peu de noir

La mort fait le pari : Vous êtes le hasard ... Et sous ses cils battants, on peut y deviner, ses deux yeux prédateurs, insensibles et glacés Rouge et Noir .... Le soir sur un chemin à la croisée du Diable, Apparaît dans l’abîme d'une route improbable,...

Un peu de noir...

Publié le 17 Février 2011 par Au grenier de la lune

Catégories : #Un peu de noir

Acrostiche : : Les sept péchés, l’Enfer, Dante L ’ univers est inscrit au fond de la Géhenne, E t aux tables sacrées résonnent encore leurs lois, S ept péchés capitaux où vacille la croix, S ept vertus cardinales où suspendre nos peines. E nfer ou paradis...

amour et déraison ...Elle et Lui.

Publié le 12 Février 2011 par Au grenier de la lune

Catégories : #poésie

Bienheureuse Ophélie que l’amour rendit folle, Avant que désespoir ne fut si douloureux, Qu’indifférence vint pour faire que somnole, De ses affreux tourments le flux tumultueux Et lorsque les regrets l’emportent sur les rêves, Lorsqu’il ne reste rien...

Amour et déraison, sont des raisons d'aimer .

Publié le 9 Février 2011 par Au grenier de la lune

Catégories : #poésie

(...) Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir, Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir. Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés...

en passant...

Publié le 7 Février 2011 par Au grenier de la lune

je pousse la porte, le coeur battant je relis un à un vos commentaires ... Puis je contemple tous ces mots sous la poussière, et ce grenier qui se meurt, je n'ose même plus m'y attarder, tant l'endroit me parait étrange, inhabité. Etrangère en ce lieu,...